Une partition chorégraphique géométrique sans cesse renouvelée, une piste de danse noire laquée, une musique en décibels pour boîte de nuit. Pour ceux qui se souviennent de Révolution – danseuses tournant sans cesse sur trois mesures du Boléro de Ravel et Tragédies – danseurs et danseuses nus comme des vers –, cette proposition appartient à la même veine. C’est une pièce radieuse comme un soleil de nuit. Entêtante, envoûtante. Une danse radicale non intégriste, qui vous appelle.