©Ph Lebruman
Théâtre

Tout le monde ne peut pas être orphelin

Les chiens de Navarre, Jean-Christophe Meurisse

La greffe a pris entre cette compagnie déjantée et deux nouveaux venus, qui viennent la renforcer. Et pas n’importe qui. Deux parmi les anciens Deschiens.
Riche idée que de les avoir invités à cette fête carnassière, dont la première victime est la famille.
Le résultat ?
Une pièce drôle et effroyable, avec de l’émotion, bien sûr; de la déraison, beaucoup; mais aussi du rire, à en pleurer de joie. Pour tous ceux qui n’ont pas froid aux yeux.

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