Sur une musique somptueuse d’Henryk Górecki, dite Symphonie des chants plaintifs, Kader Attou reprend un spectacle emblématique créé onze ans plus tôt. Les danseurs incarnent la partition musicale, tel un opéra sans paroles. Dans un tourbillon de mouvements puisés dans le hip-hop, le classique, ou la danse traditionnelle indienne, une harmonie majestueuse se dessine et vous étreint d’un sentiment de beauté douloureux.