Une poésie, impalpable, immédiate, mélancolique. Il n’y a pas de survie sans amour et le spectacle, malgré les blessures et la nostalgie, en est une continuelle déclaration : l’amour pour l’autre, quotidiennement renouvelé, dans lequel on se redécouvre et qui donne et réclame la parole, amour pour la vie et hommage au cycle des saisons. Et à la fin, bien sûr, il y a le rituel d’une assiette partagée. Essentiel.
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Stefano Vaja