Ce solo offre au spectateur un tremplin parfait pour un portrait rêvé de Kaori Ito. Aurélien Bory réalise ici un bijou de théâtre optique, d’une grande beauté, qui croise la magie, l’art de la marionnette et le cinéma. Techniquement irréprochable, plastiquement superbe, ce solo pour harpiste chevronnée est un poème à l’encre noire.