Ces acrobates sont des oiseaux de bon augure.
Ils nous avaient proposé un réveil mémorable d’une sensibilité extrême lors des derniers Feux d’hiver.
Ici, vibre un poème chorégraphique et acrobatique.
Des vagues s’y forment, les corps se jettent, s’empilent, grimpent, s’effondrent, se remettent d’aplomb. Aériens et flottants.
Et nous voilà emportés dans leur sillage, bercés par les évolutions d’une humanité muette et solidaire. Captivant.