Short troué, tee-shirt moulant, bedaine à l’air, Didier Super fait de son théâtre de guignol un jeu de massacre, passant au vitriol les travers d’une humanité en déroute. Ici, il nous raconte l’histoire d’un chômeur qui rencontre une fée, franchissant d’ailleurs assez souvent la ligne jaune d’un certain bon goût. Nous vous aurons donc prévenu. Le risque, c’est d’être choqué et de venir avec ses enfants. En quelque sorte, voir Didier Super, c’est déjà aimer Didier Super.