Et si dans cette nouvelle de Kafka, où un homme se réveille transformé en cafard, se trouvaient tous les ingrédients d’un bon thriller psychologique ?
Et si le fait d’avoir un cafard chez soi, certes un désagrément, faisait de ses habitants des petits monstres bien peignés ? Un spectacle comme un film d’horreur, graphique et onirique, un peu macabre peut-être, mais surtout bien marrant.