Représentations reportées les 14 et 15 janvier 2017
Nous avions perçu tout le talent d’Étienne Saglio, en lui confiant, lui si jeune, l’édition 2012 des Libertés de séjour. Après Le soir des monstres, son deuxième spectacle ne nous dément pas. C’est bien à un troublant et magnifique voyage dans les brumes de l’inconscient. Hypnotisé, on ne sait plus dans quelle réalité on se trouve. Étienne Saglio fait naître comme par enchantement des images fantastiques et envoûtantes, baignées par la musique du Stabat mater de Vivaldi. Étienne Saglio est bien un maître de l’illusion. Il suffit de se laisser emporter.